JACOB COHËN
COLLECTION FEMMES PRINTEMPS ÉTÉ 2025
La quête de l'essentialité. Des lignes épurées qui illuminent les vêtements et ouvrent la voie à un luxe discret. Presque intérieur. C’est un style bien défini que celui de la femme Jacob Cohën PE25 : fait de rigueur et de féminité. Jamais d’exagération dans le jeu des équilibres qui caractérisent une collection au caractère intime.
Le cœur est toujours en denim. Vital. Plein d’énergie.
Travaillé avec des délavages « féminins ». Des traitements qui adoucissent un tissu résistant par définition. Des surchemises qui révèlent des hauts résolument essentiels, en coton rayé ou uni, lacés à double boucle, avec des ceintures et des boucles, référence évidente à l'univers de la lingerie la plus transgressive. La fausse pudeur n'est pas de mise. Au contraire, on y retrouve un petit quelque chose de la garde-robe masculine : les chemises en popeline rayée, les shorts en cuir à la coupe boxer.
Tout est une question d’attitude. De confiance en soi. De vouloir montrer sa féminité : comme imprégnée d’une nouvelle force qui raconte une nouvelle femme. Peu importent les modes qui passent. On crée plutôt la tendance en voulant des vêtements qui durent. La qualité est au premier plan.
Des jeans qui s’ouvrent en bas, comme les corolles des fleurs. L’allure décontractée des robes en denim savane, rompue par des ceintures en contraste. Des vestes en coton traité qui révèlent toute la fonctionnalité de sur-poches évoquant les éléments décoratifs des robes de haute couture. Des injections de couleurs acides à la limite du fluorescent, comme le vert, assorties à des teintes plus conservatrices comme le bleu, le gris ou le blanc d’œuf, pour des pulls très légers en cachemire avec une encolure profonde et des manches courtes.
quête d'essentialité. Des lignes épurées qui illuminent les vêtements et ouvrent la voie à un luxe discret. Presque intérieur. C'est un style bien défini que celui de la femme Jacob Cohën PE25 : fait de rigueur et de féminité. Jamais d'exagération dans le jeu des équilibres qui caractérisent une collection au caractère intime.
Le cœur est toujours en denim. Vital. Plein d'énergie. Travaillé avec des délavages « féminins ». Des traitements qui adoucissent un tissu résistant par définition. Des sur-shirts révélant des hauts résolument classiques, en coton rayé ou uni, lacés en double boucle, avec des ceintures et des boucles, référence évidente à l'univers de la lingerie transgressive. La fausse pudeur n'est pas de mise. Au contraire : on y retrouve un petit quelque chose de la garde-robe masculine. Les chemises en popeline rayée. Les shorts en cuir à la coupe boxer.
Tout est une question d'attitude. De confiance en soi. De vouloir montrer sa féminité, comme imprégnée d'une nouvelle force qui raconte une nouvelle femme. Peu importent les modes qui passent. On crée plutôt la tendance en voulant des vêtements qui durent. La qualité est au premier plan.
Les jeans s'ouvrent en bas, comme les corolles des fleurs. L'allure décontractée des robes en denim savane, rompue par des ceintures en contraste. Les vestes en coton traité qui révèlent toute la fonctionnalité des sur-poches pourtant posés tels des éléments décoratifs des robes de haute couture. Des injections de couleurs acides, à la limite du fluorescent, comme le vert, à côté de teintes plus conservatrices comme le bleu, le gris ou le blanc d'œuf, pour des pulls très légers en cachemire avec une encolure profonde et des manches courtes.